Raina Visenrov Date d'inscription : 27/10/2020 Messages : 159 Âge du personnage : 23 ans Métier : Garde de Claircombe
| | Dim 1 Nov - 11:53 | Journal de
Raina Visenrov Chronologie des RP Légende : ✿ En cours ✿ Terminé ✿ Abandonné
✿ 10ème jour, Premier mois de l'Automne, An 82 • Le prix de l'innocence
- Résumé:
(SUITE de « Probablement un malentendu », situé sur la Place du Capitaine | Le soir même...)
Raina peine à ramener Adrian jusqu'à chez lui, tant il est mal en point. Le temps presse, elle craint qu'il ne survive pas s'il ne reçoit pas très vite des soins. Ils rencontrent un homme, nommé Sieg qui propose de les aider. Ils parviennent finalement jusqu'à la boutique. Une fois à l'intérieur, Adrian guide Raina pour qu'elle leur apporte un peu de lumière. Elle et Sieg installe alors Adrian sur une table, et le bel Amaranthis explique alors à Raina ce qu'elle devra faire en premier lieu : c'est-à-dire sa jambe, les débris de bois. Si Raina n'est pas mal à l'aise à la vue du sang et de la chair, elle ne supporte pourtant pas de voir Adrian dans cet état, et moins encore de le voir souffrir...
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✿ 10ème jour, Premier mois de l'Automne, An 82 • Probablement un malentendu...
- Résumé:
Alors qu'elle est en surveillance de la Place du Capitaine, Raina remarque un homme a l'attitude louche. Après avoir assisté à un échange entre un marchand et son suspect, la milicienne interpelle celui qui s'avérera être Adrian Mayr, un apothicaire Amaranthis. L'Utgardienne est stupéfaite de constater son calme, au vu des preuves de sa culpabilité qu'elle récolte : documents prohibés et volés aux archives, graines toxiques et interdites, et une étrange fiole dont il a vidé le contenu et qui ne lui inspire pas confiance. Soigné, beau parleur, et une confiance dans ses yeux verts clairs, l'homme ne tarde pas à agacer la jeune femme qui perd petit à petit patience. Ils essaient de retrouver le fameux marchand, qui pourrait peut être disculpé l'apothicaire. Mais à la place, ils tombent sur une belle jeune femme qui demeure silencieuse avec la garde. Elle a en revanche la langue bien plus pendue avec le bel Amaranthis, qui lui a taper dans l'oeil à n'en pas douter. Un peu vexée et irritée par la stratégie de son prisonnier, Raina consent malgré tout à s'entretenir avec lui en privé, pour entendre les informations que son charme lui auraient permis de récolter. Adrian leur organise alors un plan, éloignant des mercenaires qui pensent tomber sur la milicienne, alors que lui irait s'entretenir avec une des têtes à l'origine de ce marché noir, sous la surveillance de Raina.
La journée se passe...
Le soir, ils mettent leur plan à exécution. Raina abandonne son butin dans une boutique face à la taverne. Mais alors qu'Adrian entre sans mal dans celle-ci, Raina se retrouve à devoir affronter un colosse bien éméché de la garde du marchand, composée de quatre hommes, à l'extérieur. Si le début de l'affrontement se passe risiblement bien, le gaillard reprend l'avantage et manque d'étrangler la milicienne. C'est alors qu'un fracas se fait entendre dans la taverne. Profitant de la diversion et angoissée à l'idée qu'il arrive quelques choses au bel Amaranthis, Raina en profite pour mettre son adversaire K.O. d'un grand coup de pied dans son entre-jambe. En se précipitant à l'intérieur, elle flanque également un grand coup de coude à l'un des épéistes, qui y laissera quelques dents. Une fois dans la taverne, c'est un spectacle inattendu qui l'attend. Le marchand, encore à table, à la figure toute ensanglantée et le regard hagard. Elle ignore alors qu'Adrian l'a assommé et lui a administré de force toute une fiole de décontractant musculaire.L'apothicaire, quant à lui, gît au sol dans un piteux état. Multiples coupures et contusions ornent son corps éprouvé, il perd beaucoup de sang, et surtout deux gros débris de bois sont figés dans sa cuisse. Raina sent un vent de panique la gagner, ainsi que... autre chose... Les autres gardes font irruption dans la pièce. Et alors qu'elle tente de garder son otage loin de ses sauveurs, Adrian est lui même intercepté par leurs ennemis. C'est grâce au bluff de celui-ci que seul l'un des mercenaires reste, bien vite mit hors d'état de nuir par l'Utgardienne. Un choix terrible – mais rapide – s'impose à la milicienne. S'emparer de sa proie et devenir une héro... Ou sauver son compagnon de fortune. Sans un regard en arrière, elle aide Adrian à se relever et prend avec lui, tant bien que mal, la direction de sa boutique...
Quant elle reviendra, Raina retrouvera la cassette ainsi que son équipement dans la boutique face à la taverne. En revanche, plus aucune trace du marchand, sans doute récupéré par ses propres amis, et ennemis de nos deux protagonistes.
(SUITE dans « Le prix de l'innocence », situé dans la boutique Le Lys d'Argent)
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✿ 7-9ème jour, Premier mois de l'Automne, An 82 • Un Ascanien, même aimable, n'en reste pas moins un Ascanien...
- Résumé:
Alors qu'à son plus grand désespoir Raina est envoyéz en ronde dans le quartier Ascanien, elle tombe nez à nez avec Ernst Grison-Ebermann, un préfet Ascanien, cavalier et propriétaire d'une menuiserie. Tout deux se connaissent vaguement, de précédentes affaires de par la milice. Mais celui-ci adopte vers elle un comportement étrange, quelque peu pédant, et écorche son prénom. Agacée, la milicienne le remballe avant de mettre les voiles. Raina ignore alors être la malheureuse d'une victime d'une odieuse machination maritale...
Deux jours plus tard : Une lettre est reçue par le commandant Auguste Degure, concernant une de ses soldats. Celle-ci est envoyée par le cardinal Ascanien, sous la demande de la mère de Ernst, disant que la milicienne se serait montrée outrageuse avec le préfet, lui faisant des avances plus qu'explicitent à la vue de tous, et ayant couvert le pauvre homme, ainsi que son nom, d'une honte indélébile. Pour remédier à ça, deux options : congédier Raina, ou une union entre elle et Ernst. Raina ignore toujours les entreprises de la famille Grison-Erbermann à son égard et se rend pour une nouvelle ronde dans le quartier Ascanien. Quelle n'est pas sa surprise alors de se voir insulter par ses habitants d'aguicheuse et autres petits noms dans ce style. Comprenant qu'une terrible rumeur court à son propos, elle soupçonne le préfet qui, vexé de s'être vu envoyé paître par l'Utgardienne, se serait venger en racontant à tord et à travers des choses fausses la concernant. Folle de rage, elle décide d'aller s'expliquer directement avec l'intéressé dans sa propre menuiserie. Mais arrivé là-bas, c'est l'incompréhension totale. Alors qu'elle l'accuse de front, l'Ascanien lui répond tout un flot de choses dont elle ne comprend absolument rien. Tournée au ridicule, elle se demande pourquoi l'homme fait alors mention de « mariage » et de « dot »...
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✿ 3ème jour, Premier mois de l'Automne, An 82 • Exercice matinal
- Résumé:
Alors qu'elle est de repos, Raina se rend dans les Faubourgs pour s'entraîner, après avoir fait un crochet par chez elle pour revoir ses frères et sa sœur. Sur le terrain d'entraînement, la milicienne a le plaisir de retrouver deux vieilles connaissances : Eredin et Torstein, deux Utgardiens eux aussi, qui sont ses amis d'enfance et des partenaires d'entraînement de longue date. Heureux de se retrouver, Eredin et Raina commencent tout deux à se charrier. Les petites piques laissent place à un affrontement à l'épée de bois. Si les premiers échanges ressemblent à un échauffement, les choses deviennent très vite plus sérieuses. Après l'avoir flanqué une première fois au sol, c'est au tour de Raina de donner un grand coup dans l'estomac d'Eredin. Suite à quoi, le jeune homme use d'un stratagème pour lui envoyer de la terre dans le visage, puis son épée, et se rue sur elle. Il prend très vite le dessus, mais d'un coup dans l'entre-jambe, il est contraint de reculer. C'est désormais à mains nues qu'ils se battent tout deux. L'ambiance passe de bonne enfant à plus sérieux. Les coups vicieux se succèdent. Elle le provoque, et il se rue à nouveau sur elle. Souhaitant le tourner au ridicule devant la petite foule qui les observe, elle lui fait un croche-pied. Mais Eredin l'emporte avec elle au sol. Après l'avoir repoussé, c'est son tour de se trouver au dessus de lui, une main dans ses cheveux, en tentant de l'immobiliser...
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✿ 9ème jour, Troisième mois de l'Eté, An 82 • Danse avec les loups
- Résumé:
De garde dans la hutte de Hurlsk parmis les siens, Raina fait une rencontre des plus inattendues et désagréables... Eivor, son ennemi juré depuis sa plus tendre enfance, est bien ivre et la provoque d'un « Petite chatte ». Peinant à se contenir dans sa haine, Raina s'efforce de lui faire comprendre de la manière la plus « courtoise » et « polie » qu'il ferait mieux de se taire s'il ne voulait pas s'attirer ses foudres...
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✿ 1ème jour, Troisième mois de l'Eté, An 82 • Une vie s'éteint. Vive la vie !
- Résumé:
Désespérée par les dettes familiales encore actives sur la tête de son pauvre frère aîné, Raina a le malheur d'écouter le conseil d'un de ses collègues miliciens (un Ascanien, sans surprise). Elle se rend donc au Chat Noir, où elle est supposée se présenter pour un travail d'entraînement au combat parmi le personnel. Elle demande donc à voir Esagil, le tenancier des lieux. Ce qu'elle ignore alors c'est qu'en vérité le Chat Noir n'est autre... Qu'un bordel...
Liens & Relations
✿ Adrian Mayr. • Relation indéterminée D'abord suspect, il est devenu son compagnon et complice dans une enquête au sein du marché noir. Suite à quoi, une sorte « d'amitié » a commencé à voir le jour... Ou de « je-ne-sais-pas-quoi », dont elle ignore elle même l'existence comme la nature.
✿ Nom du Personnage. Type de relation. Texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte.
✿ Nom du Personnage. Type de relation. Texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte.
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