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Claircombe  :: Titre :: Quartier Amaranthis :: La liberté est au bout d'une corde - Partie 1 :: Page 3 sur 3 Précédent  1, 2, 3
La liberté est au bout d'une corde - Partie 1
Maître du Jeu
Maître du Jeu
Date d'inscription : 25/09/2020
Messages : 517
Sam 21 Oct - 10:52
Ravena crispa brièvement les mains sur ses accoudoirs ; visiblement, elle ne s’était pas attendu à ce qu’Adrian réponde avec autant d’assurance. Elle renonça à jeter un œil autour d’elle à la recherche de soutien, elle se savait seule dans ce combat. Comme souvent, son époux se montrait étrangement sentimental dès qu’il était question de la famille Mayr – une raison de plus pour laquelle Ravena évitait de les mentionner sous ce toit – et Marielle restait fidèle à elle-même : ravie dès qu’elle voyait une opportunité de tourmenter sa pauvre mère.

Après quelques secondes qui parurent s’étirer en minutes, la maîtresse de maison soupira.

- Je ne suis pas votre ennemie, Adrian. Mais ne me comptez pas encore parmi vos alliés.

C’était dit et cela ne pouvait être plus clair. L’apothicaire avait peut-être la faveur du père et de la fille, mais la mère aurait besoin de plus de temps avant d’accorder sa confiance. Et à bien y réfléchir, sa confiance était dispensable dans cette histoire. L’influence de Ravena sur sa famille n’était peut-être pas aussi forte qu’il l’avait cru de prime abord.

Contrairement à ses craintes, le dîner poursuivit son cours, presque comme si l’incident était clos. Ravena resta en retrait des conversations cependant, et Aurélius n’y participait qu’à demi, comme s’il avait l’esprit à ailleurs. Seule Marielle devisa gaiement, et Adrian ne put que la remercier de ne rien mentionner de la longue liste des sujets qu’il préférait ne pas aborder maintenant : Jorgen, le laboratoire sous la Bibliothèque, le monstre à dix têtes qui s’en était échappé, les victimes de l’attaque, son procès et son avenir en tant que médecin. Sa conversation n’était peut-être pas aussi intéressante que l’aurait été celle de son père, néanmoins elle faisait preuve d’une impressionnante intelligence sociale.

Ce n’est que plus tard dans la soirée qu’une occasion se présenta à lui, tandis qu’ils prenaient tous le thé dans l’intimité du salon où il avait été reçu à son arrivée. Profitant d’un moment de calme dans les conversations, Aurélius posa brièvement une main sur son épaule pour attirer son attention.

- Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais m’entretenir avec vous, Adrian. En privé.

Son visage avenant ne trahissait rien de ses motivations mais l’apothicaire de ne se fit pas prier davantage. Le bureau d’Aurélius était une pièce dont on lui avait toujours refusé l’accès, seul son père y avait été convié lors des dîners mondains que l’hôte organisait jadis. De quoi pouvaient-ils s’entretenir alors, loin des oreilles des invités ? L’impression de marcher dans ses pas se fit encore plus prégnante.

L’endroit n’était pas aussi spacieux que les autres salles de la maison et pourtant il possédait un charme indéniable ; le plafond y était plus haut que n’importe où ailleurs, surmonté d’une petite coupole en verre qui, en pleine journée, devait baigner la pièce dans une agréable lumière. Les autres fenêtres donnaient sur un petit jardin clos, Adrian se souvenait y avoir pris le thé à l’occasion, lorsque le temps l’avait permis. Tant de souvenirs qu’il avait enfoui dans sa mémoire.

Dans le mur du fond, dernière le lourd bureau finement ouvragé, une bibliothèque contenait ce que l’apothicaire devinait être l’œuvre de toute la vie d’Aurélius de Langret. Tout était parfaitement ordonné, rangé avec une minutie qui frôlait l’obsession. Adrian nota que la seule chose qui ne semblait pas avoir d’utilité pratique était la fleur qui s’épanouissait tranquillement sur le rebord d’une fenêtre : une ancolie, les préférées de sa mère.

- Vous avez la mine de quelqu’un qui aurait besoin de boire quelque chose d’un peu plus fort que du thé.

L’ancien médecin ouvrit l’une des portes de son cabinet avant d’en sortir deux verres et une bouteille de liquide ambrée. Il versa un verre à Adrian avant de s’asseoir dans un fauteuil, face à lui.

- Ou peut-être est-ce moi qui en avais besoin, dit-il en lui adressant un petit sourire. Je vous prie encore de bien vouloir excuser mon épouse. Nous avons deux visions assez opposées sur la façon dont il convient d’agir, dans notre situation. Elle pense que nous devrions redoubler d’effort pour prouver au monde que nous sommes des gens tout à fait digne d’estime et je pense que de pareils efforts sont une perte de temps.

Il tira une pipe d’un tiroir et entreprit de la remplir avec les gestes précis d’un ancien chirurgien. Il semblait à Adrian qu’il était entré dans une bulle où Aurélius était enfin lui-même.

- Mais vous, vous avez réussi à trouver un équilibre et les gens qui poussent la porte de votre officine ne murmurent que de bonnes choses à votre sujet. Ce sont eux qui comptent le plus.

Il n’avait pas parlé au passé, comme si les événements récents n’avaient pas entaché tout ce qu’Adrian s’était évertué à construire. Peut-être avait-il raison d’ailleurs, peut-être que le temps tasserait les choses, que cette énième tâche sur sa réputation glisserait sur lui comme avaient glissé les autres. Aurélius tira une bouffée sur sa pipe tout en considérant Adrian avec ce qui ressemblait à un soupçon de fierté, très vite remplacé par autre chose. Du regret ?

- Après la mort de Jorgen, je pensais que mon soutien serait plus un fardeau qu’autre chose alors je vous ai seulement observé de loin. J’aurais aimé pouvoir faire plus, mais de toute évidence vous vous en êtes très bien sorti. Et vous vous en sortirez cette fois très bien encore, n’en doutez pas.
Adrian Mayr
Adrian Mayr
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Âge du personnage : 31 Ans
Métier : Apothicaire
Ven 27 Oct - 14:19
Si Adrian était curieux de savoir ce que celle qui se faisait appeler Nina avait pu entendre des conversations de la table, il n’eut guère le loisir de s’attarder sur le sujet tant l’invitation d’Aurélius fut aussi soudaine qu’inespérée. Partagé entre l’appréhension et l’impatience, l’Apothicaire n’aurait bien évidemment pu faire autrement que d’accepter cet entretien privé en compagnie du maître des lieux.

Par le passé, il lui était souvent arrivé de se demander à quoi ressemblait la pièce derrière cette fameuse porte interdite. Bien qu’il louait chaque moment où l’on lui permettait de se soustraire à l’autorité omniprésente de son géniteur, Adrian restait d’un naturel curieux et il ne lui avait pas fallu plus qu’un accès refusé pour animer son imagination.

Tout en évitant soigneusement de laisser traîner son regard de manière trop évidente, Adrian ne s’était pas privé d’observer son environnement, satisfait au fond de pouvoir mettre une image sur ce lieux dont il n’avait comme souvenir qu’une porte close. Si on lui avait demandé de s’imaginer le bureau d’Aurélius, il y a fort à parier qu’Adrian aurait pensé à un environnement plus austère. A l’évidence, ce bureau constituait un cadre de travail idéal en journée, comme en témoignait la voûte vitrée qui les surplombait. L’Apothicaire comprit assez vite ce qui le fit sentir rapidement à son aise dans cet endroit. En effet, tout y était si bien rangé et ordonné qu’il aurait presque pu s’imaginer officier dans ce genre de bureau.

- Vous avez la mine de quelqu’un qui aurait besoin de boire quelque chose d’un peu plus fort que du thé.

Comme si Aurélius l’avait rattrapé au vol avant qu’il ne parte dans ses habituelles rêveries, Adrian observa son hôte un instant en acquiesçant machinalement d’un signe de tête presque imperceptible. Il écouta les dires d’Aurélius avec attention, comme s’il se devait de ne rater aucun détail de cet entretien. Adrian eut la satisfaction de constater que la pression était nettement redescendue - pour lui comme pour son interlocuteur - depuis qu’ils avaient quitté le salon au profit des quartiers privés d’Aurélius. Bien sûr, l’apothicaire n’avait rien contre Ravena, comprenant aisément le malaise et l’appréhension qu’elle pouvait ressentir face à la présente d’Adrian sous leur toit et faisant ami-ami avec leur fille, mais il était clair que ses propos tranchant à son sujet n’avaient pas donné un bon ton à la soirée. Il rejoignait d’ailleurs le parti d’Aurélius lorsque celui-ci confia considérer l’effort de son épouse comme une perte d’énergie inutile.

- [...] Mais vous, vous avez réussi à trouver un équilibre et les gens qui poussent la porte de votre officine ne murmurent que de bonnes choses à votre sujet. Ce sont eux qui comptent le plus.

Adrian esquissa un sourire discret et vint s’asseoir dans un siège vacant face à Aurélius, toujours attentif à ses dires.

- Après la mort de Jorgen, je pensais que mon soutien serait plus un fardeau qu’autre chose alors je vous ai seulement observé de loin. J’aurais aimé pouvoir faire plus, mais de toute évidence vous vous en êtes très bien sorti. Et vous vous en sortirez cette fois très bien encore, n’en doutez pas.

Évidemment, ils n’allaient pas pouvoir éviter le sujet épineux et source d’éloignement entre leurs deux familles : Jorgen. Entendre le nom de son père n’avait peut-être plus autant prise dans l’esprit d’Adrian ces derniers temps, mais il n’en restait pas moins une expérience relativement désagréable. Comme l’avait mentionné Aurélius plus tôt dans la soirée, il aurait été d’autant plus périlleux de faire comme si le passé n’avait pas existé. Adrian prit une profonde inspiration en veillant à ce que ça reste imperceptible.

Le discours du maître des lieux dans son ensemble suscita néanmoins une certaine satisfaction dans l’esprit de l’Apothicaire. Entendre un compliment de la part d’un confrère était toujours louable, mais il prenait une tout autre proportion en cet instant. Par le passé, Adrian avait toujours eu un profond respect pour cet homme dont le calme et la discrétion tranchaient avec l’attitude de son père, et s’il se faisait discret depuis plusieurs années, il n’en restait pas moins l’un des plus éminents médecins du peuple Amaranthis.

Adrian prit son verre et but une courte gorgée avant de finalement prendre la parole.

- Malgré la proximité de nos familles, vous ne me deviez rien et je n’ai jamais envisagé de mander votre aide. Non pas parce qu’elle ne m’aurait pas été profitable, mais bien parce que les dommages créés par l'exécution de mon père n’avaient pas à se répercuter ailleurs. Vous étiez déjà suffisamment proche de lui pour que cela ait une influence sur votre famille.

Il marqua une pause et exerça un mouvement rotatif de la main, agitant machinalement le liquide dans le fond plat du verre avec une précision et une régularité exemplaire, sans que ce geste n’attire le regard. Adrian avait fait le choix de citer l'exécution de son père, et non les exactions commises par celui-ci, car bien que beaucoup de monde sache qu’il s’était éloigné de l’ombre de son géniteur, il n’était guère utile de souligner qu’il ne cautionnait pas les cachotteries de feu son père…Surtout à cet instant précis.

- Comme vous l’avez mentionné, j’ai réussi à trouver un équilibre et à me faire un nom qui m’est propre malgré un parcours fut houleux. Je vous rejoins sur le fait qu’il n’est pas nécessaire de se forcer à montrer au monde ce que l’on vaut, autant laisser parler les actes d’eux-mêmes.

Adrian passa machinalement sa main dans sa barbe et prit un air plus grave

Quant aux récents évènements, vous avez surement raison…je m’en sortirais, oui. Je ne compte pas me laisser dicter ma conduite, mais il est clair que je ne suis pas le seul à vivre des heures sombres. Le gouvernement semble ne rien vouloir lâcher et je ne suis pas sûr que toute cette histoire soit finie.

Tiraillé par le moindre de ses propos, Adrian n’osait pas poser les questions qui lui venaient en tête à mesure qu’il parlait. Il lui était encore difficile de se sentir suffisamment à l’aise pour interroger Aurélius sur son ressentit concernant toute cette histoire, mais aussi sur des sujets du passé. Il se rassura en se rappelant qu’Aurélius l’avait lui même invité à venir s’entretenir en privé dans son bureau, ce qui lui laissait penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple échange de banalités.
Maître du Jeu
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Date d'inscription : 25/09/2020
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Lun 30 Oct - 11:00
- […] Le gouvernement semble ne rien vouloir lâcher et je ne suis pas sûr que toute cette histoire soit finie.

- Loin s’en faut, acquiesça Aurélius, la mine grave. Il est même à parier que ce n’est que le tout début d’une période bien sombre. Même si elle fut émaillée d’autres récits sordides, jamais l’histoire des Amaranthis ne compta pareil drame.

Il échangea avec Adrian un regard entendu ; tous deux savaient mieux que quiconque quelle était la dernière en date.

- Les conséquences seront d’autant plus terribles qu’aucun de nos deux voisins n’ont jamais beaucoup apprécié notre tendance à l’expérimentation. Elle a pourtant sauvé bien plus de vies qu’elle n’en a sacrifiées, dit-il d’un ton pensif, tandis qu’il tirait à nouveau sur sa pipe.

Comme s’il réalisait que ses paroles pouvaient être mal interprétées, il ajouta après un instant :

- Entendons-nous bien : ce qui s’est passé est une tragédie, mais l’expérimentation est la seule façon d’éprouver les limites de notre monde. Presque toutes nos grandes avancées en médecine ont découlé de recherches moralement discutables, parfois d’une cruauté sans limite. En tant que médecin, j’ai bien conscience que mon travail repose sur les expérimentations de nos ancêtres, lesquels étaient beaucoup plus pragmatiques que je ne le suis.


L’exemple de Igor Verraven revint aussitôt en mémoire d’Adrian : c’était un chercheur qui avait découvert les propriétés coagulantes d’une plante lorsque son peuple vivait encore en Amaranthe, ce qui permit d’ouvrir des patients encore en vie sans qu’ils ne se vident de leur sang. L’histoire retenait de lui cette incroyable découverte, moins les cobayes qu’il avait sacrifié sur l’autel de la connaissance.

- Je ne sais pas ce qui est le plus terrible : les morts que nous avons causé ou le fait que tout ceci ait été en vain, maintenant que tout a brûlé.

Aurélius s’était levé de son siège, il avait arpenté son bureau, comme incapable de pousser sa réflexion trop loin lorsqu'il était statique. Il finit par se poster près de la fenêtre, regardant sans vraiment le voir le jardin dans la pénombre qui tombe.

- Après tout ce que vous avez vu là-bas, vous devez sans doute avoir un avis plus tranché sur la question, non ?
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